Programme de la fête de l'indépendante dans le cadre de la semaine sans pesticides.
Nous vous invitons le samedi 19 mars à notre fête de l'indépendante, à la Maison Verte, 127 rue Marcadet 75018 PARIS (métro Jules Joffrin Bus 60 et 31) dans le cadre de la semaine sans pesticides.
Au programme :
- 12h30 : repas à prix libre
- 14h30 : Olivier Parisis, chanteur-poète
- 15h30 : projection du film "Gilbert Espinasse, agriculteur de conscience"
Drôle d’idée que Gilbert Espinasse s’est mise sous la casquette en ce mois de janvier 1968 ! Et qu’il s’entête aussitôt à vouloir faire fleurir sur ses terres de Sévignac, au balcon de la Vallée de l’Aveyron…
Pire, aux yeux de beaucoup de ses collègues agriculteurs, que s’il avait planté du chiendent ! Et pleuvent les quolibets, les critiques, fusent les sarcasmes… Face aux attaques, il dégaine une arme redoutable : cet humour, à l’épreuve de toutes les atteintes, dont la nature l’a doté.
Près d’un demi-siècle plus tard, il n’est toujours pas milliardaire. Mais il a été un paysan heureux, en accord profond avec sa conscience d’homme. Son fils lui a succédé sur la petite ferme familiale, avec même un associé venu de la ville.
Portrait d’un personnage profondément attachant, avec sa bonne humeur communicative, en même temps que d’un pionnier qui a largement contribué à mettre l’agriculture biologique sur les rails tant dans sa région qu’au plan national…
- 16h30 : débat sur le film suivi d'un goûté à la menthe
En vous espérant nombreux,
L'équipe de l'indépendante
Nous vous invitons le samedi 19 mars à notre fête de l'indépendante, à la Maison Verte, 127 rue Marcadet 75018 PARIS (métro Jules Joffrin Bus 60 et 31) dans le cadre de la semaine sans pesticides.
Au programme :
- 12h30 : repas à prix libre
- 14h30 : Olivier Parisis, chanteur-poète
- 15h30 : projection du film "Gilbert Espinasse, agriculteur de conscience"
Drôle d’idée que Gilbert Espinasse s’est mise sous la casquette en ce mois de janvier 1968 ! Et qu’il s’entête aussitôt à vouloir faire fleurir sur ses terres de Sévignac, au balcon de la Vallée de l’Aveyron…
Pire, aux yeux de beaucoup de ses collègues agriculteurs, que s’il avait planté du chiendent ! Et pleuvent les quolibets, les critiques, fusent les sarcasmes… Face aux attaques, il dégaine une arme redoutable : cet humour, à l’épreuve de toutes les atteintes, dont la nature l’a doté.
Près d’un demi-siècle plus tard, il n’est toujours pas milliardaire. Mais il a été un paysan heureux, en accord profond avec sa conscience d’homme. Son fils lui a succédé sur la petite ferme familiale, avec même un associé venu de la ville.
Portrait d’un personnage profondément attachant, avec sa bonne humeur communicative, en même temps que d’un pionnier qui a largement contribué à mettre l’agriculture biologique sur les rails tant dans sa région qu’au plan national…
- 16h30 : débat sur le film suivi d'un goûté à la menthe
En vous espérant nombreux,
L'équipe de l'indépendante